La Note du Planneur : 8/20
L’avis du Planneur : Etrange manière que de communiquer sur le "craqué" des pistaches. On assiste ici à la volonté de créer en télé la viralité. Petits clip fondés uniquement sur l'humour potache ou faussement parodiques. C'est en fin de compte un retour à la réclame classique : une action destinée à marquer l'esprit, des mots écrits en grosses lettres et un slogan sans lien apparent avec les images. On aurait plutôt pensé à un fil rouge "toi aussi craque avec eux", auquel cas les mini-scènes auraient pris tout leur sens. Mais la formulation "craquez !" (associé au bruit de la coque qui se sépare), ni impératif, ni incitatif dilue le message et mélange pour les détruire les deux significations qu'on lui prête en français.
Cela dit, le "craquage" comme insight, s'il est mal exploité ici, est bon et vrai vecteur publicitaire.
Prise de risque : 0/5
L’avis du Planneur : Etrange manière que de communiquer sur le "craqué" des pistaches. On assiste ici à la volonté de créer en télé la viralité. Petits clip fondés uniquement sur l'humour potache ou faussement parodiques. C'est en fin de compte un retour à la réclame classique : une action destinée à marquer l'esprit, des mots écrits en grosses lettres et un slogan sans lien apparent avec les images. On aurait plutôt pensé à un fil rouge "toi aussi craque avec eux", auquel cas les mini-scènes auraient pris tout leur sens. Mais la formulation "craquez !" (associé au bruit de la coque qui se sépare), ni impératif, ni incitatif dilue le message et mélange pour les détruire les deux significations qu'on lui prête en français.
Cela dit, le "craquage" comme insight, s'il est mal exploité ici, est bon et vrai vecteur publicitaire.
Prise de risque : 0/5
Cohérence avec la marque : 3/5
Direction Artistique : 3/5
Message : 1/5
Insight : 3/5
Résumé (rapide) de la pub : Une action farfelue, une pistache qui craque en laissant apparaître le produit.
Direction Artistique : 3/5
Message : 1/5
Insight : 3/5
Résumé (rapide) de la pub : Une action farfelue, une pistache qui craque en laissant apparaître le produit.
Que Charlie Schmidt ait vendu l'âme de son chat pour quelques cacahouètes n'étonnera personne : c'est son fond de commerce depuis plus de 3 ans. En revanche qu'une agence ait abouti à un remix aussi pauvre - même dans le cadre d'une campagne sur des célébrités - est assez navrant, et montre qu'elle n'a pas compris grand chose à la culture des memes.
RépondreSupprimerSeul point intéressant, le "wonderful ass cracking" qu'on obtient sur YouTube en pressant les touches 7 5 9, comme en témoigne les nombreux commentaires de la vidéo. Mais là encore, il est fort à parier que c'est une invention des internautes qui, même lorsqu'on leur confisque leurs idoles à des fins publicitaires, trouvent toujours des façons de se les approprier en riant au nez des marketeurs.
"Wonderful ass cracking", voilà un slogan qui envoie. Les créatifs devraient en prendre de la graine ;)